Retour a zinal
Hier c'était du bonheur.
Zinal est synonyme de bonheur pour tous les coureurs de montagne, juste entendre son nom ce sont les images au descendre vers l'arrivée entourés des cinq quatre-mils et des milliers de personnes, ce sont les frisons au corps. Zinal c'est du bonheur juste au franchir la ligne d'arrivé. Parce que c'est dur, parce que c'est rapide et parce que c'est beau.
Surement le plus beau plateau d'une course en montagne était hier à neuf heures avec la main sur la montre a quelques secondes de se lancer en grande vitesse dans la dure monté qui nous amenait à Chandolin. Avant le départ, rêver de finir dans les 10 premiers c'était un rêve, même pour les habitués aux victoires, c'était un rêve.
La route nous abandonne et ensuite un Enorme César Costa prend une foulée d'enfer, juste Marco de Gasperi et moi arrivons a le suivre, quelques minutes, en mon cas, beaucoup plus Marco. Cesar était impressionnant, On courait tous, dans la monté, mais lui il relançait, il accélérait, pour voler vers le ciel. Moi, en pleine souffrance et avec les jambes lourdes, j'ai suite compris que c'était pas un jour facile que j'arriverais pas a courir pour la victoire, juste avant que César et Marco s'envolaient devant.
Des le kilomètre sis ou sept j'étais seul. Devant c'était la lutte entre un géant, un mythe de la Course en montagne, Marco de Gasperi et un coureur qui progresse année en année (l'an dernier aussi deuxième à Zinal). Quelques minutes derrière c'était la lutte pour la quatrième place. J'ai donc, pu profiter de la magnifique course, de l'ambiance et des nombreux spectateurs qui étaient venus pour nous encourager. et deux heures trente quatre minutes après avoir le bonheur de franchir pour troisième fois la ligne de Sierre - Zinal, plus d'un minute plus rapide que mon meilleur temps.
Marco avait quelques minutes avant réalisé une superbe partie finale pour arrêter le chrono avec le deuxième temps de SZ, en 30min 14'', et 1 minute après un emu César réalise le 4eme temps de l'histoire. Deux géants.
Aujourd'hui, rentré a Chamonix la motivation est tourné vers un autre effort, celui dans 10 jours pour faire le tour du sommet qui est devant moi, pas de saveur de sang dans la bouche ni d'acide lactique cette fois ci, mais des heures de course nous attendent...
Zinal est synonyme de bonheur pour tous les coureurs de montagne, juste entendre son nom ce sont les images au descendre vers l'arrivée entourés des cinq quatre-mils et des milliers de personnes, ce sont les frisons au corps. Zinal c'est du bonheur juste au franchir la ligne d'arrivé. Parce que c'est dur, parce que c'est rapide et parce que c'est beau.
Surement le plus beau plateau d'une course en montagne était hier à neuf heures avec la main sur la montre a quelques secondes de se lancer en grande vitesse dans la dure monté qui nous amenait à Chandolin. Avant le départ, rêver de finir dans les 10 premiers c'était un rêve, même pour les habitués aux victoires, c'était un rêve.
La route nous abandonne et ensuite un Enorme César Costa prend une foulée d'enfer, juste Marco de Gasperi et moi arrivons a le suivre, quelques minutes, en mon cas, beaucoup plus Marco. Cesar était impressionnant, On courait tous, dans la monté, mais lui il relançait, il accélérait, pour voler vers le ciel. Moi, en pleine souffrance et avec les jambes lourdes, j'ai suite compris que c'était pas un jour facile que j'arriverais pas a courir pour la victoire, juste avant que César et Marco s'envolaient devant.
Des le kilomètre sis ou sept j'étais seul. Devant c'était la lutte entre un géant, un mythe de la Course en montagne, Marco de Gasperi et un coureur qui progresse année en année (l'an dernier aussi deuxième à Zinal). Quelques minutes derrière c'était la lutte pour la quatrième place. J'ai donc, pu profiter de la magnifique course, de l'ambiance et des nombreux spectateurs qui étaient venus pour nous encourager. et deux heures trente quatre minutes après avoir le bonheur de franchir pour troisième fois la ligne de Sierre - Zinal, plus d'un minute plus rapide que mon meilleur temps.
Marco avait quelques minutes avant réalisé une superbe partie finale pour arrêter le chrono avec le deuxième temps de SZ, en 30min 14'', et 1 minute après un emu César réalise le 4eme temps de l'histoire. Deux géants.
Aujourd'hui, rentré a Chamonix la motivation est tourné vers un autre effort, celui dans 10 jours pour faire le tour du sommet qui est devant moi, pas de saveur de sang dans la bouche ni d'acide lactique cette fois ci, mais des heures de course nous attendent...